Salut, je m'appelle Romain ! J'ai vingt-huit ans, je suis marié et j'ai une petite fille. Je travaille dans un labo photo d'une grande chaîne spécialisée. Je suis toute la semaine dans une de ces boutiques qui se trouvent dans les galeries marchandes des grandes surfaces et qui vous assurent le développement en une heure de temps tout en essayant de vous fourguer cartes de fidélité, produits dérivés et autres appareils photos numériques à 1 euros. C'est un boulot un peu répétitif mais qui comporte des à-côtés intéressants, surtout quand il s'agit de vérifier la qualité des photographies une fois celles-ci développées. Malheureusement, avec l'avènement du tout numérique, cela devient de plus en plus rare, les clients étant toujours plus nombreux à se tourner vers le développement à distance ou, pire, vers le tirage papier à domicile. C'est dommage car, au fil du temps, je vivrai moins de moments aussi excitants que ceux dont je vais vous parler.
La première fois, c'était seulement quinze jours après avoir été embauché. Je venais juste de finir ma formation initiale et on m'avait déjà mis au parfum. Un collègue m'avait dit qu'il arrivait assez fréquemment de tomber sur des clichés très explicites, voire carrément pornographiques. C'est un phénomène bien connu dans le métier. Les gens sont vraiment sans gêne. C'est à se demander d'ailleurs si certains ne le font pas exprès, en sachant très bien que les photos seront vérifiées une à une lors du développement. Il doit parfois y avoir une bonne dose d'exhibitionnisme là-dedans. D'autres doivent tout simplement penser que leurs photos ne sont vues par personne. Ils se trompent lourdement. Souvent, quand l'un de nous tombe sur de bonnes images bien hard, il les fait circuler parmi ses collègues.
Mes premières photos me furent donc présentées par mon chef de labo. Elles étaient relativement soft, quasiment pas sexuelles. C'était celles d'une fille aussi jeune que moi qui exécutait un strip-tease devant l'objectif. On la voyait habillée de manière un peu vulgaire, comme si elle avait voulu imiter l'image qu'elle se faisait d'une pute. Elle était bien fichue, avec de longues jambes élancées gainées d'un collant noir. Sous sa mini-jupe " ras la moule ", on pouvait deviner son petit cul et, quand elle se tournait, le renflement de sa chatte. Sur d'autres clichés elle avait presque tout enlevé pour ne conserver qu'un petit slip minuscule et un soutien-gorge très rempli dont ses seins semblaient vouloir déborder. Encore un peu plus loin sur la pellicule, elle se fourrait les mains dedans et paraissait masser ses nichons. Plus loin encore, elle avait enfilé une main dans sa culotte, descendue sur ses hanches. Pour finir, j'ai pu la mater complètement à poil et c'est là que j'ai vu qu'elle était entièrement rasée. Elle avait aussi pris un des ses bouts de seins dans sa bouche et regardait vicieusement l'objectif. La série se terminait là et ça restait pour tout dire assez soft. Bien plus que ce que j'ai eu l'occasion de voir dans la suite de ma carrière.
Ma première vraie découverte personnelle fut autrement plus excitante. Il s'agissait d'une série de trois pellicules de trente-six poses sur laquelle deux lesbiennes se donnaient du plaisir. Il y avait une femme déjà assez âgée, peut-être la quarantaine, et une autre sensiblement plus jeune. Les deux étaient en maillot de bain et en plein-air, au bord d'une piscine. La première pelloche commençait d'une manière assez sobre mais ça dégénérait vite sur les suivantes. Au début, on voyait les deux nanas assises à califourchon sur un transat, en train de se passer de la crème solaire partout. La plus vieille se mettait assez rapidement à tartiner les cuisses et les nichons de sa copine. Au bout de quelques clichés, celle-ci lui rendait la pareille et finalement elles en arrivaient à se rouler une pelle. Puis, elles ont quitté leurs maillots et se sont retrouvées à poil avant de plonger dans l'eau.
Sur la deuxième pellicule, la femme mûre s'était mise sur le bord du bassin, les jambes pendantes dans l'eau. La jeune avait enfoui son visage entre ses cuisses et paraissait lui lécher la chatte. Il y avait même deux ou trois gros plans de la scène où on voyait bien la langue de la gouine qui passait sur le trou de sa copine. C'était la première fois que je voyais ça. Ensuite, la fille a mis aussi un puis deux doigts dans le vagin de la quadragénaire. Sur les dernières photos, le couple de gouines était de nouveau sur le transat. Les deux femmes se suçaient la moule réciproquement. J'avais une vue imprenable sur le cul de la jeune femme et je pouvais deviner la tête de la vieille coincée entre ses cuisses. Avec un peu d'imagination, j'aurai presque pu voir bouger les corps. J'ai aussi eu droit à un gros plan du moment où la jeune lesbienne a doigté le cul de sa partenaire tout en lui bouffant la chatte. Enfin, sur le troisième rouleau, les deux cochonnes se fourraient toutes sortes d'objets dans les trous : des jouets de plage, des manches de raquettes et même un beau gode représentant une bite bien imitée. Ce jour-là, j'ai dû aller me branler dans les toilettes du magasin pour faire baisser mon excitation.
Une autre fois, c'est sur des photos de partouze que je suis tombé inopinément. Là c'était vraiment de la folie. Il y avait aussi plusieurs pellicules et on pouvait dénombrer au moins deux dizaines de personnages différents sur les clichés. En plus, ceux-ci étaient vraiment d'excellente qualité. Je me souviens avoir été étonné qu'une aussi bon photographe ne développe pas lui-même ses prises de vue.
Ca se passait dans une sorte de loft assez vaste. Il y avait des lits dans tous les coins et dessus des gens qui s'ébattaient, toujours au moins à trois, souvent en groupe plus nombreux. Le photographe était passé partout et avait multiplié les plans les plus cochons. J'ai passé un bon moment à mater les images et je dois avouer que j'ai même procédé à un tirage supplémentaire, pour l'emmener chez moi, tellement je les ai trouvées excitantes.
Le plus troublant, c'était que tous les protagonistes de l'orgie semblaient être bisexuels. Or, si j'avais déjà vu des femmes se gouiner, c'était la première fois que je voyais un homme en sucer un autre ou, pire, deux mecs s'enculer. Ce n'était pas le contenu le plus courant de la série de photos, mais cela attira mon regard et me causa une excitation plus vive que je ne l'aurai pensé de prime abord. Pourtant, je fus encore plus troublé par les images qui représentaient des femmes en train de sodomiser des hommes avec des godes ceintures.
L'une d'elles se faisait prendre par derrière tout en bourrant le cul d'un type qui en suçait un autre, planté devant lui. C'était une grosse femme presque obèse avec des seins énormes. Un autre mec était debout devant elle, monté sur le lit qui accueillait l'enculé. Il lui donnait sa queue à sucer pendant qu'une nana collée à ses fesses semblait lui lécher l'anus. Les photos qui suivaient sur la pellicule me confirmèrent ce fait grâce à une série de gros plans très explicites. Le photographe était allé pointer son objectif au plus près de l'action et je pouvais savourer le spectacle des bites, réelles ou factices, qui entraient et sortaient des orifices accueillants qu'elles comblaient.
Il y avait, plus loin dans la salle, un autre groupe très virulent, majoritairement féminin celui-ci. Un jeune homme était cloué sur un lit par plusieurs femmes de tous âges. Une fille s'était empalée sur sa bite et paraissait s'agiter dessus tout en subissant les caresses buccales de deux autres nanas qui lui tétaient chacune un nichon en se masturbant mutuellement, les doigts plongés entre leurs cuisses. Sur les mains du gars, d'autres femmes se faisaient branler. Enfin, une vieille salope aux cheveux gris s'était assise sur sa gueule pour se faire lécher la chatte et le cul. Sur les gros plans qui accompagnaient cette scène, je pouvais observer le jeu de langue du gars qui fouillait tantôt les replis roses de la chatte mûre, tantôt les recoins les plus sombres du petit anus avide de caresses de la vieille. Sur la dernière photo de la série, tout le groupe était en train de jouir. Les visages déformés par le plaisir de toutes ces femmes avaient été imprimés sur la pellicule en plans serrés et c'était beau en plus d'être formidablement excitant.
Une semaine après cet épisode, j'ai reconnu parmi mes clientes l'un des filles de la partouze, une jeune minette d'à peu près mon âge. Je n'ai pas laissé passer ma chance. Elle ne venait pas chercher ces photos mais d'autres clichés tout à fait sérieux. J'en ai profité pour la draguer et, depuis, elle est devenue ma femme. Je continue à voir passer de belles saloperies en photos mais, en plus, je suis marié à une sacrée cochonne qui me donne beaucoup de plaisir au quotidien, seule ou avec ses amis.
Sujet: Quelque photo cochonne 
Mar 18 Sep - 1:53
pendant tous le temps ou j'ai lu ton histoire je me suis dit (au le garçon il c'est bien rincé l'oeil)en tous cas j'ai bien aimé...
